Les Mercedes de BML – Béton des Monts du Lyonnais
- Le béton avant tout
- Une flotte de plus en plus étoilée
Montigny-le-Bretonneux/Saint-Martin-le-Haut (69) – Créé en 1989 dans la petite bourgade de Saint-Martin-le-Haut, le groupe BML – Béton des Monts du Lyonnais – et ses divers entreprises – Transports Ville, PHV, BML, BML Béton – comptent aujourd’hui 400 employés dont 270 conducteurs et conductrices. Il faut dire que les activités de ce groupe, constitué en grande partie via des acquisitions, s’étendent dans l’ensemble de la région Rhône-Alpes, débordant même désormais en Auvergne, entre centrales à béton (22 au total), carrières (3) et autres magasins de matériaux (2), de Saint-Fons à Valençin, de Lyon à Clermont-Ferrand. De sa base initiale de Saint-Martin-le-Haut dans le sud-ouest de Lyon, l’entreprise a donc nettement grandi mais sa spécialité numéro 1 reste le béton dont elle produit et livre 750 000 m3 chaque année. L’entreprise travaille beaucoup sur le futur de ce matériau et de ses déchets et résidus de fabrication au sein de son laboratoire de Saint-Fons (69).
Une flotte de plus en plus étoilée
C’est là que Mercedes-Benz Trucks, à travers sa filiale lyonnaise de Genas, entre en jeu ! Depuis deux ans, ont en effet été livrés plus d’une vingtaine d’Arocs et d’Actros qui carrossés en toupie à béton, qui en malaxeur-pompe voire en « simple » tracteur de semi-remorques pour acheminer matériaux et autres ingrédients sur les chantiers et les clients de la région lyonnaise. Des 270 « moteurs » de l’entreprise, une quarantaine sont aujourd’hui des Mercedes-Benz. « La raison ? Il y en a plusieurs, de la consommation intéressante aux solutions carrossiers proposées par la marque en passant par la maniabilité des camions » précise Philippe Ville le Président Directeur Général de l’entreprise. Dans cette flotte étoilée, on retrouve de nombreux toupies à béton Arocs 8x4 dans des versions 3243 et 3246 – OM 470 de 10,7 litres de cylindrée de 315 kW/428 chevaux pour le premier, de 355 kW/455 chevaux pour le second – particulièrement adaptés à ce métier très particulier. Le groupe conserve ses camions 6 ans. Et même si le kilométrage n’est pas élevé à cette échéance, les camions ont été fortement sollicités. Derniers modèles arrivés, deux tracteurs Actros 1845.